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L'Ecole de la sensualité regarder en ligne regarder en ligne 1440p

Le Laboureur et ses Enfants

DJERAYOM DIEDJE DJEGOUSSOU DENIS

24 janvier 2017 à 14:07

Dans la tradition chez nous, dans notre ethnie, c’est toujours le travail qui démarque un homme d’un autre et il ouvre toutes les portes. Le travail chez nous est considéré comme un acte de bravour. C’est dans le sang, ne pas beaucoup travailler rend malade. Il faut le faire chaque jour tant que tu es en vie. La Fontaine vient compléter d’une manière intellectuelle ce qui a existé, qui existe et qui existera dans ma famille. Chez nous les Laka au Sud Tchad, notre dévise est: Travail-Hospitalité-Honnêtété-Moyen-Les femmes et l’Ambiance. Donc, voler, agresser, violer, tuer, jalouser, envier n’est pas nous. Merci pour le miracle de la technoilogie et aux inventeurs ou promoteurs.

18 janvier 2017 à 18:36

Quelle belle fable, une vraie leçon de vie. Il est bien vrai que le travail est une richesse et certainement un des plus beaux trésors que nous puissions avoir, parfois difficile, pénible mais il donne un sens et un but à notre vie. Lorsque je peux faire un cadeau à mes enfants,je remercie mon travail et mes efforts car sans ça je serai comme beaucoup de gens, ni toit, ni repas, ni le respect de soit, aucun fierté de me dire je me lève le matin pour les miens et grâce au travail on deviens quelqu’un… Alors je souhaite à tout ceux qui n’on pas la chance de travailler, de pouvoir remédier ça. Car le travail signifie beaucoup de choses « santé, argent, joie, bonheur et surtout le respect et l’amour des siens…

14 janvier 2017 à 9:29

Grâce à cette fable j’ai compris que le travail est un grand trésor. Cette fable je l’ai appris en CM2. Cela m’a donné envie de faire de grandes choses.

M. Fanny donipré

11 janvier 2017 à 17:39

J’ai appris ce poème à l’école primaire de mon village en 2002 lorsque j’étais encore au C.E.2. Ce poème m’a servi durant tout mon parcours scolaire et dans la vie active. Je vais le transmettre à mes élèves! Voltaire l’a si bien dit!

Kouadio kiffé mouroufie

6 janvier 2017 à 11:11

Cette fable, je l’ai apprise au CM1 à l’EPP BIRAOUDI au nord-est de la Cote d’Ivoire grâce à un enseignant bénévole. Depuis lors je m’en inspire à chaque fois que j’éprouve de la paresse à accomplir une tâche. Et je pense qu’elle continuera d’inspirer d’autres lecteurs pour l’éternité. Bravo!

2 janvier 2017 à 14:24

Poème toujours de circonstance. A une époque où tout le monde veut devenir riche vite et facilement, il est urgent de réintroduire ce poème dans les programmes officiels pour éduquer nos enfants à l’amour du travail comme valeur essentielle à la prospérité de toute personne qui se respecte.

Yahia Nemmiche

17 décembre 2016 à 17:13

Moi aussi j’ai appris cette fable en 1966 en classe de CE2 à Sidi Abdelli w de tlemcen en Algerie. Cette fable que je récite à la moindre occasion pour insister sur l’importance du travail a des fins éducatives, ca m’a permis de réussir honnêtement dans ma vie, de ne pas fléchir devant les difficultés. J’aurai aime que Notre ministère de l’éducation réintroduise ce genre de leçons dans ses programmes éducatifs. C’est une fable pour la prospérité.

17 décembre 2016 à 10:06

J’aime bien ce poème. Ca fait plus que 43 ans que j’ai appris à l’école rue des écoles tinja Tunisie.

El idrissi Abdeslam

16 décembre 2016 à 15:55

J’ai appris ce poème de la Fontaine en 1950 dans notre école franco-musulmane de Tétouan Maroc, c’était mon poème préféré et à l’époque on l’a traduit en arabe dialectale.

emeric yavo

12 décembre 2016 à 21:06

J’ai appris ce poème en 2017 à l’école Sorbonne. c’est un poème magnifique plein de moralité et de concentration qui éveille la conscience. Merci Jean de la Fontaine

12 décembre 2016 à 10:53

J’ai appris ce poème en 2001 en école primaire au Cameroun. Je vais à mon tour le faire apprendre à mes élèves de CM1. Merci Jean de Lafontaine

7 décembre 2016 à 21:43

J’ai appris ce poème dans les années 70, à l’école primaire de mon village Ait Idris(w) de Béjaia Algérie. C’est un poème magnifique, éducatif et éveille les consciences dès le jeune age. Merci Jean de la Fontaine.

Peyruc Jean-Claude

6 décembre 2016 à 20:24

J’ai appris ce poème en 1952 à l’école primaire à Langon, dans le sud-ouest. On récitait alors des poésies au Certificat d’Etudes Primaires, en les déclamant si possible, pour obtenir une meilleure note. C’était le directeur lui-même, surnommé « Prosper » qui officiait, sa règle à la main, pour stimuler ceux qui hésitaient… Non seulement ce poème est beau mais aussi tellement vrai. Et tout au long de ma vie, j’ai Å“uvré pour trouver ce trésor. Le travail bien fait est une source de satisfaction permanente.

loli poytere

6 décembre 2016 à 17:31

C’est une bonne morale

Helper Binamwisho

24 novembre 2016 à 12:16

J’ai apris cette fable il y a 22 ans à l’ Ecole Privée Maranatha une des anciennes adventites de Goma-RDC. Ladite fable m’a toujours inspiré, surtout quand je fais face à la paresse et au découragement. Je suis toujours en mesure de la réciter en intégralité. Aujourd’hui cette fable a été chosie par le Ministère de l’Enseignement National de la RDC comme texte de 4ème Année Secondaire dans le Thème du Travail. C’est quelle renferme des grandes et importantes leçons! Exemple: Proverbes 12:27 = « Le paresseux ne rôtit pas son jubié, mais le précieux trésor d’un homme c’est le travail. »

elvio funck

23 novembre 2016 à 23:03

In the days when French was mandatory in Brazilian schools, we hand a wonderful teacher from Paris, Frère Prosper, un Frére Mariste. Nous avons apris cette fable par coeur. We learned it by heart sixty five years ago and today, at eighty, I still know most of it by heart. Its message sank deep into my heart and changed my life. I worked a lot and still have a comfortable life, despite all the problems we are facing in Brazil. When I retired, ten years ago, La Fontaine invited me not to stop working and I began to translate Shakespeare into Portuguese. These translations have kept me alive and happy. « The labour we delight in physics pain ».

JORDAN ITUTA

11 novembre 2016 à 8:14

Ce poème me fait vivre des merveilleux moments où j’étais encore gamin à l’école primaire, sous le toît parental. Il est splendide car tout ce qui s’y trouve, s’est certainement réalisé dans ma vie. C’est génial.

KOMARA ADAMA

10 novembre 2016 à 20:46

J’ai appris ce poème au collège moderne de DIVO, en classe de 3e en cote d’Ivoire. Ce poème me plait beaucoup, car dans la vie rien ne vaut un trésor.

Reda bouragba

Amedeech NGOMAO MBIERÉ

11 octobre 2016 à 7:59

Merveilleux poème de Jean De La Fontaine que j’ai appris dans mon Ecole Primaire du 5 Février 1979 à Loubomo au sud du Congo Brazzaville. Je l’ai appris avec l’aide de mon Maître, pas seulement, son fouet y a beaucoup contribué. Car, à l’époque, les enseignants avaient le droit de « corriger », de « motiver » les élèves à l’aide d’un fouet. Ce poème est toujours d’actualité et montre le rôle majeur du travail. Le travail est un trésor. Aussi dure, soit-il, le travail contribue à l’épanouissement de la personne.

9 octobre 2016 à 18:31

Cette fable de La Fontaine est magnifique d’enseignement et d’encouragement pour la vie! Elle montre qu’il faut toujours chercher, à faire son propre trou dans le fromage socio-économique… En somme, compter sur soi, même si par ailleurs, on peut toujours s’attendre à un coup de pouce salvateur… Au-delà de cet aspect, la musicalité du texte est prenante et cela me ramène à ma prime enfance mais cela est bien loin aujourd’hui, ayant 58 ans… Clin d’oeil!

F. Khlelifi

3 octobre 2016 à 18:03

Je l’avais appris il y a plus de 35 ans en Algérie et moi aussi ce poème m’a marquée mais aujourd’hui ces paroles prennent tout leur sens!

Maursi Leila

3 octobre 2016 à 13:31

J’aime cette fable de Jean de la Fontaine, sa morale sur le travail est tellement vraie et je l’ai appliquée – c’est mon frère Youcef qui l’a apprise en CM1 et qui me l’a transmise – moi, c’était la cigale et la fourmi et le loup et et l’agneau ainsi que la grenouille qui voulait se faire plus grosse que le boeuf – nous devrions l’enseigner aux enfants dès le CE2

vos daniel

30 septembre 2016 à 8:48

J’ai appris cette récitation en primaire dans les années 50, mes parents et grand parents mon appris le travail de la terre, mais j’ai plutôt travaillé sous-terre car je fut mineur de charbon, mais pour moi la morale reste la même, que l’on creuse en surface ou au fond de la terre il y a toujours un trésor quelque part.

Antoinette Jeancolas

26 septembre 2016 à 11:05

C’est une dame du 4ème âge qui me l’a faite découvrir, et c’est tellement juste, le travail donne un sens à la vie, comme a dit un commentateur plus haut, il permet de contribuer au bien être des autres.

Rabah ABBAS

24 septembre 2016 à 23:01

C’est magnifique, je ne l’ai jamais oublié du moins les 8 premières lignes. Il me rappelle ma jeunesse et surtout notre condition sociale, c ‘était il y a 52 ans en 1964 j’avais 10 ans. Ce poème est toujours d’une grande valeur morale pour la société. Merci à Jean de la Fontaine.

22 septembre 2016 à 15:09

J’ai eu la chance d’apprendre ce beau texte et de le réciter en 1974 le jour de mon certificat d’étude. et je m’en souviens encore après 40 ans. Ce texte reflète sagesse et richesse.

13 septembre 2016 à 15:04