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Amandine, ma femme (2) – Retournement de situation

Après avoir surpris ma femme en train de branler mon ami Michel, j’Ă©tais restĂ© cachĂ© derrière les volets, Ă  observer la scène. Assise sur le lit, elle le masturbait lentement avec ses petites mains. Lui, qui n’avait pas eu de relations depuis des semaines, il Ă©tait en train de rattraper son retard. Ses testicules Ă©taient vraiment Ă©normes, elles semblaient encore plus grosses en plein jour. Lorsqu’il commença Ă  gĂ©mir, je savais qu’il allait bientĂ´t jouir. Mais, Amandine ne s’en soucia nullement et continua sa besogne… Il fallut qu’un premier jet sorte avec force de son gland, un peu comme un geyser, pour qu’elle rĂ©agisse enfin…

— Oh. DĂ©jĂ . Tu vas en mettre partout, attend…

Elle posa simplement ses lèvres autour du gland, sans bouger. Je n’en croyais pas mes yeux… elle le buvait, directement Ă  la source. J’imaginais ce qu’elle devait recevoir en bouche. Michel serrait les fesses, et Ă  chaque pulsation, il gĂ©missait comme un petit garçon. En essayant de vouloir tout garder, Amandine faillit s’étouffer plusieurs fois… Michel s’arrĂŞta enfin de se vider et recula un peu. Elle leva la tĂŞte, un grand sourire aux lèvres. Elle avait les joues gonflĂ©es comme un hamster et un filet blanc coulait sur son menton. Elle regarda Michel droit dans les yeux puis gloussa comme une folle, avant de tout avaler… Elle s’essuya les lèvres avec une main.

— Ah. Quel jus. je te croyais vidĂ© depuis hier soir… Ca m’apprendra tiens…
— J’ai encore de la rĂ©serve… je ne me suis pas branlĂ© depuis de semaines… mais, tu n’Ă©tais pas obligĂ© d’avaler…
— Bah, dans le feu de l’action…

Heureux d’avoir jouit, il s’allongea sur le lit, les bras croisĂ©s sous la tĂŞte et Ă©carta les jambes, très relax. Amandine le regardait sans bouger.

— Putain, les couilles que t’as quand mĂŞme… Non mais regarde-les. On dirait celles d’un cochon…
— Oui, ça y ressemble, c’est vrai. D’ailleurs, je crois que j’ai le mĂŞme problème que ces animaux… Je produis Ă©normĂ©ment de sperme.
— Je viens de m’en apercevoir, en effet.
— Et tu n’as pas tout vu, plus je me branle longtemps, plus je fabrique des zozos. Mes couilles se mettent mĂŞme Ă  grossir…
— Ah bon. Je serais curieuse de voir ça…
— Maintenant ?
— Hein. Non, non, on n’a plus le temps Michel…
— Allez, j’ai encore envie…

Et il se leva, nu comme un vers, sa tige droite comme un i. De profil, ses couilles, remontĂ©s par l’excitation, ressemblaient Ă  des boules de pĂ©tanque.

— François va arriver et…

Il s’approcha de sa bouche et essaya de l’embrasser. Elle le repoussa avec son bras.

— ArrĂŞte, il faut que j’aille me laver les dents, j’ai encore l’odeur de ton sperme dans ma bouche.
— Tu veux te laver les dents. Attends, j’ai une idĂ©e…

Et il se précipita vers la salle de bains puis en ressorti avec une brosse à dent et un gobelet en plastique.

— Regarde… Je vais te fabriquer ton dentifrice…

Il s’installa Ă  genou sur le lit et se branla Ă  une vitesse folle au dessus du verre. Il bandait un peu mou mais semblait y prendre un certain plaisir. Ma femme le regarda faire, surprise et intriguĂ©e en mĂŞme temps.

— Tu fais quoi là ?
— Je remplis ma rĂ©serve. Plus c’est long, plus ça fabrique. C’est comme une sorte de pompe Ă  vĂ©lo… Tu vas voir…

Ca faisait dĂ©jĂ  30 bonnes minutes qu’il s’astiquait le manche et Amandine s’impatientait.

— Bon, ça devrait être bon maintenant, tu es tout rouge.
— Dommage, j’aurais pu en gĂ©nĂ©rer beaucoup plus si on avait eu plus de temps, mais ça devrait suffire pour un verre… Ah, je viens… VoilĂ .

Et il visa le rĂ©ceptacle. Je n’en croyais pas mes yeux, il rĂ©ussit Ă  le remplir presque totalement… Le sperme sortait du gland en grosses saccades blanches, bien Ă©paisses… On aurait dit du lait concentrĂ© qui sortait d’un Karcher… C’Ă©tait un vĂ©ritable robinet Ă  foutre ce mec !

— Incroyable. Et moi qui te branlais doucement…
— Alors ?

Ma femme prit le gobelet et le renifla.

— Ca sent l’eau de javel. Pouah. L’odeur est plus forte Ă  l’air libre… Tu veux vraiment que je me lave les dents avec ça. demanda-t-elle en lui montrant la brosse Ă  dent.
— C’Ă©tait pour rire…

Elle humait toujours le gobelet et faisait une drĂ´le de tĂŞte.

— C’est dĂ©goutant… Tu peux le ramener dans la salle de bains ?
— Tu veux même pas y gouter un peu. dit-il en se marrant.

Elle le regarda avec une lueur de dĂ©fit dans ses yeux. Prise Ă  son propre jeu, allait-elle aller jusqu’au bout ?

— Encore ?
— Je ne sais pas… C’est toi qui m’as dit que tu aimais ça…
— Oui… Mais y’a au moins la dose de dix mecs lĂ …
— Je te l’avais dit. Plus je pompe, plus ça sort…
— Je n’en ai jamais vu autant…
— Justement…

Elle hĂ©sitait mais semblait tenter par l’expĂ©rience.

— Bon… OK, j’essaye…

Elle trempa un doigt dans la mixture. « C’est tout visqueux, tu as vu. J’ai l’impression qu’il est bien plus blanc aussi. » Elle lĂ©cha son doigt et dit. « Bah, c’est pas si mauvais… » Elle regarda le verre plein dans sa main, hĂ©sita, puis… « Oh la la, j’ai jamais fait ça, je suis complètement folle… Mais c’est tellement cochon hihi… Allez… » Et elle but une petite gorgĂ©, puis une autre et encore une autre… Je n’en revenais pas… Elle rĂ©ussit Ă  tout boire, lentement, en laissant Ă©chapper un petit rot vers la fin.

— Ca va ?
— Oui… Tu te rends compte. Je viens de boire un milk-shake… un milk-shake au sperme. Je suis prĂŞte pour rentrer dans le livre des records !
— Ca alors. Tu me tues toi…
— Tu devrais gouter un de ces jours, tu ne sais pas ce que tu rates… Bon, maintenant je dois vraiment partir et me laver les dents sinon François…
— C’est vrai, je suis dĂ©solĂ©… Et pour François ?

Elle lui mit un doigt sur la bouche.

— Chut, tais-toi. C’est moi la responsable et puis… Il n’en saura jamais rien. Motus et bouche… pleine. dit-elle en rigolant.

Et elle sortit de la chambre.
J’allai d’un pas nonchalant rejoindre notre couche. En posant dĂ©licatement le sac Ă  croissants sur la table de nuit, je l’appelai doucement :

Un bruit de chasse d’eau retentit, elle Ă©tait dĂ©jĂ  dans la salle de bains. Elle arriva dans la chambre, plus belle que jamais. Elle s’allongea près de moi et me sourit avec ses belles dents blanches. Elle s’approcha de moi et tenta de m’embrasser.

Elle qui venait d’avaler une tonne de foutre, j’eu un lĂ©ger mouvement de recul. Heureusement, elle fermait les yeux. En l’embrassant, sa voix n’arrĂŞtait pas de tourner dans ma tĂŞte. « Il n’en saura jamais rien. Motus et bouche pleine… ».

Après un petit dĂ©jeuner commun, Michel nous fit ses adieux. Il pensait que ça allait aller mieux maintenant avec sa libido. J’en Ă©tais persuadĂ©. Il nous renverrait l’ascenseur un jour ou l’autre, d’une manière ou d’une autre. Je lui fit comprendre qu’il nous devait rien et que de faire l’amour devant un autre homme Ă©tait l’un de nos nombreux fantasmes. Ă€ ce moment-lĂ , Amandine et Michel Ă©changèrent un sourire complice…

Nous Ă©tions enfin seuls et peut-ĂŞtre qu’Amandine allait oser m’avouer sa tromperie.

— Alors, ça t’a plu. demandais-je.
— Oui, Michel est très sympa.
— Tu as envie de retenter l’expérience, un jour ?
— Je ne sais pas… Tu as aimĂ© ?
— Oui et il t’a bien aspergé ce matin, euh je veux dire hier soir !

Elle me regarda bizarrement.

— …j’étais tellement excitĂ©e, dans le feu de l’action cela m’a paru tout Ă  fait normal…
— Tu voudrais pas essayer d’aller plus loin. Maintenant que tu le connais mieux…
— Tu insistes vraiment pour que je me le fasse on dirait !
— Non, non, je te posais juste la question…
— Et bien, non, je ne suis pas encore prĂŞte. Je t’aime et je suis fidèle. Chaque chose en son temps.

Elle me mentait. MalgrĂ© les perches que je lui avait tendues… J’étais triste au fond de moi. La confiance n’était plus de mise entre nous. OĂą tout ça allait-il bien nous mener ?

Les mois passèrent et Amandine ne connu pas d’autres aventures avec Michel. Quant Ă  moi, j’essayais dĂ©sespĂ©rĂ©ment d’en avoir une avec Cynthia, une jeune secrĂ©taire de ma boĂ®te. Nous faisions moins l’amour Amandine et moi, alors il fallait bien chercher ailleurs. Et puis un soir, nous nous sommes tous retrouvĂ©s, Michel, Cynthia, Amandine et moi, autour d’un verre Ă  la maison.

Je draguais Cynthia, une brunette de 22 ans, depuis des mois et elle rĂ©sistait toujours Ă  mes avances du fait que j’Ă©tais un homme mariĂ©. PrĂ©textant un voyage d’affaires bidon, je l’avais emmenĂ© dans un « Relais & Châteaux » et cette petite allumeuse m’avait salement chauffĂ© pendant ce long week-end… On s’Ă©tait quand mĂŞme embrassĂ©s deux ou trois fois… La première nuit, elle m’avait un peu caressĂ© sous le lit et puis… M’avait tournĂ© le dos… pour faire dodo. J’avais dormis sur la bĂ©quille comme on dit. Mais le lendemain matin, nue sous la douche, elle avait laissĂ© la porte de la salle de bains ouverte et je m’Ă©tais rincĂ© l’oeil… D’ailleurs, c’Ă©tait bien la seule fois oĂą j’avais pu admirer sa plastique de rĂŞve… Elle me devait au moins ça, ça m’avait coĂ»tĂ© une petite fortune ce sĂ©jour de luxe.

Donc, pour ne pas mettre la puce Ă  l’oreille de ma femme, je lui avais prĂ©sentĂ© Cynthia comme Ă©tant la petite amie de Michel. Sachant que ma femme Ă©tait très jalouse voir mĂ©fiante Ă  l’Ă©gard de mes collègues fĂ©minins (et avec raison), ils avaient tous les deux acceptĂ©s de jouer le jeu. Et ils le jouait très bien, mĂŞme un peu trop Ă  mon goĂ»t. Dès le dĂ©but de la soirĂ©e, Michel lui roula des pelles et la pelota plusieurs fois, sans mĂ©nagement. Cynthia se laissait faire mais, Ă  sa tĂŞte, on voyait bien qu’elle trouvait Michel trop entreprenant. Quand Ă  lui, il levait un pouce Ă  chaque fois que je le regardais.

La situation Ă©tait dĂ©licate mais pour l’instant, tout se passait bien et je n’avais commis aucune gaffe. Puis, le sujet de conversation se positionna au dessous de la ceinture et ma femme raconta Ă  Cynthia notre fameux week-end avec Michel. « Il avait les boules et on a fait l’amour devant lui pour lui remonter le moral » Ma femme souriait et tout le monde comprit le trait d’humour sauf Cynthia, bien Ă©videmment. Amandine leur avoua Ă©galement que c’Ă©tait Ă  notre tour de souffrir aujourd’hui… Que notre couple battait de l’aile en ce moment et que peut-ĂŞtre, voir un couple baiser devant nous pourrait peut-ĂŞtre nous exciter un peu… Et elle les regarda tous les deux dans les yeux en insistant bien…

Michel transpirait et Cynthia me regardait de plus en plus inquiète… L’ambiance devenait chaude et le message avait bien Ă©tĂ© reçu. Michel parla le premier :

— Et bien, je vous dois bien ça pour le service que vous m’avez rendu la dernière fois. Et toi Cynthia, qu’en penses-tu. lui demanda-t-il sans se démonter.
— Je ne sais pas, euh, je n’ai pas spĂ©cialement envie, lĂ , maintenant, tout de suite…
— En tout cas, moi je suis prêt, scout toujours. dit Michel en me regardant.

Je regardais Cynthia remuer sur sa chaise, elle Ă©tait visiblement mal Ă  l’aise. J’avais peur qu’elle craque et qu’elle dise la vĂ©ritĂ© Ă  ma femme. Je sentais qu’elle n’allait pas pouvoir rĂ©sister bien longtemps…

Contre toute attente, ma femme se leva d’un bond et se dirigea vers Cynthia.

— Bon et bien, les dames d’abord.

Elle l’embrassa tout en lui soulevant son pull et Cynthia, surprise, se laissa faire. La coquine ne portait pas de soutien-gorge. Amandine lui caressa les seins et commença par lui lĂ©cher les tĂ©tons qui durcissaient sous sa langue humide. Michel n’en ratait pas une miette.

Cynthia ne restait pas insensible aux caresses de ma femme qui la guida tout doucement vers la piscine. Amandine Ă´ta la culotte de Cynthia et la fit s’asseoir sur un des transats, elle lui Ă©carta gentiment les jambes et l’allongea sur le coussin. Se croyant peut-ĂŞtre chez son gynĂ©cologue, Cynthia posa ses talons sur les accoudoirs du transat. Ma femme lui caressait l’intĂ©rieur des cuisses, lui faisait des bisous sur le corps et commença Ă  lui mettre un doigt, puis deux. Elle lui fit goĂ»ter son propre jus puis se lĂ©chait les doigts. Michel n’en croyait pas ses yeux et moi non plus. Le spectacle devenait excitant et j’y prenais un certain plaisir…

— Bon, tous à poils, ordonna ma femme qui ôtait ses dernières fringues.

Je regardais Michel qui sautillait dĂ©jĂ  en caleçon, il ne perdait pas de temps le bougre. Une fois nues, tous les deux, nous regardions les filles avec envie. Michel bandait très fort et semblait ravi du spectacle. Nous observions la scène tout en nous masturbant. Deux femmes sublimes faisaient l’amour devant nous. Michel, les yeux exorbitĂ©s, bavait sur le cul de ma femme. Il n’arrĂŞtait pas de la mater. C’est vrai que dans cette position, Ă  quatre pattes, elle Ă©tait super-bandante. On voyait bien son petit trou et sa chatte Ă©pilĂ©e, mais ce n’était pas prĂ©vu au programme…

Michel se rapprocha d’elles et lĂ©cha puis goba les petits doigts de pieds de Cynthia. Ca la chatouillait un peu aussi elle ouvrit les yeux et poussa un petit cri Ă©touffĂ© lorsqu’elle aperçut Michel, complètement nue et en Ă©rection, juste Ă  cĂ´tĂ© d’elle. Ses yeux restaient grands ouverts et elle resta bouche bĂ©e. Elle me regarda et je fis un oui de la tĂŞte pour lui indiquer que je savais pour Michel. Elle me fit un non de la tĂŞte en chuchotant et je ne pu lire qu’un mot sur ses lèvres « …Couilles. ». Elle allait sans doute refusĂ© d’aller plus loin maintenant et je transpirais de plus en plus. Michel s’installa tranquillement derrière Amandine qui Ă©tait Ă  quatre pattes, en position de levrette. Il se masturbait toujours et son gland touchait parfois le cul de ma femme, mais Ă  chaque fois, il reculait comme pour l’Ă©viter. Ce petit jeu dura un certain temps, puis, l’excitation venant, il s’avança et posa carrĂ©ment sa bite sur le creux de ses fesses. Il bandait dur comme fer. Il malaxait et caressait les fesses d’Amandine qui ondulait de plaisir, pensant peut-ĂŞtre que c’était moi. Son sexe bougeait de haut en bas, tellement il bandait. De petites gouttelettes transparentes sortaient dĂ©jĂ  de sa bite et arrosaient son dos. A chaque mouvement de va et vient, il en expulsait un peu. Il recula un peu comme s’il voulait la pĂ©nĂ©trer pour de vrai cette fois mais glissa sa bite en dessous, entre ses jambes et se colla Ă  elle comme un chien. Il lui malaxait les seins en mĂŞme temps. Amandine devait sentir cette tige sous son vendre qui tapait dur et lubrifiait sa chatte. Il n’allait tout de mĂŞme pas oser la pĂ©nĂ©trer. MĂŞme si je crus voir le gland rentrer et sortir quelques fois, elle se leva juste Ă  temps…

— Je serais curieuse de voir comment Cynthia s’en sort avec toi, Michel. Même moi, je serais impressionnée par ton outil, dit-elle en soupesant ses boules.

Elle avait encore les couilles de Michel en mains quand elle croisa mon regard… Elle s’arrĂŞta aussitĂ´t. Michel se dĂ©gagea et reprit lui, d’autres choses en main. En l’occurrence, il releva les deux jambes de Cynthia Ă  la force des bras. On avait une vue incroyable sur son anus et son sexe un peu poilu et ses jambes Ă©taient justes sublimes.

— Je vais encore la lubrifier un peu…

Michel se baissa et commença Ă  la brouter, comme un mouton. Elle fermait les yeux et gĂ©missait comme une petite fille. Michel accĂ©lĂ©rait, dĂ©cĂ©lĂ©rait et humait ce parfum inconnu jusqu’alors. Encore une fois je ne m’attendais pas Ă  un tel revirement de situation. Cynthia, ma petite Cynthia, criait maintenant et remuait dans tous les sens, comme pour s’Ă©chapper, les jambes derrières la tĂŞte.

Ma femme me prit par la main et nous allâmes nous asseoir pour profiter de ce moment. Elle me branla en mĂŞme temps et moi je regardais un peu inquiet de la suite des Ă©vènements…

— Je suis sûr que tu aimerais te la faire ?
— C’est vrai, elle est plutôt jolie.
— Tu en meurs d’envie, avoue-le ?
— Peut-ĂŞtre…
— Tu bandes pour elle en ce moment ?
— C’est possible…
— Tu sais, Michel m’a pĂ©nĂ©trĂ© un peu tout Ă  l’heure…
— J’ai vu.

Cynthia avait les joues en feu, elle prenait son pied. Elle Ă©tait si belle dans cette position avec ses belles jambes en l’air. Parfois, Michel, lui titillait l’anus puis remontait pour embrasser son clito. C’était un vrai animal ce type, il lui bouffait littĂ©ralement le minou, un pro du cunni. Il devait sacrĂ©ment ĂŞtre en manque et ne devait jamais avoir eu l’occasion de se taper une nana aussi belle.

Après avoir suffisamment broutĂ© Cynthia, il se releva et prĂ©senta fièrement son sexe devant sa petite frimousse d’Ă©colière, un gros sourire au lèvre. Il l’avait bien fait jouir avec sa langue et maintenant il voulait une petite gâterie. Il anticipait le plaisir qu’il allait recevoir. « A mon tour maintenant… » Mais Cynthia, un peu surprise, leva les yeux et resta sans bouger Ă  observer cette queue humide. Non seulement ce type bandait comme un âne mais en plus il giclait dĂ©jĂ  de la mouille sur elle, c’Ă©tait sans doute le trop plein… « T’es vraiment en manque toi. J’ai jamais vu ça… » dit-elle en se caressant les seins. Il trouva sans doute le temps un peu long et n’osa pas insister. Il reprit donc sa position initiale de broute minou et la masturba un peu avec ses doigts. Elle aimait ça et se laissa faire… Après plusieurs minutes de ce traitement et comme elle fermait les yeux, il la pĂ©nĂ©tra doucement mais assez profondĂ©ment… Elle fut un peu surprise par cette intrusion mais ne rĂ©sista pas longtemps Ă  l’appel du plaisir…

Michel la limait maintenant avec un rythme rĂ©gulier et de plus en plus soutenu, il avait de l’endurance le bougre. Il accĂ©lĂ©rait la cadence, un vrai acteur porno. Dans toutes les positions, il la besognait avec force. Prise en levrette, les boules de Michel buttaient avec force contre ses fesses. Il fallait rester zen, ma femme n’était au courant de rien et cela devait continuer ainsi. Mon attirance et mon dĂ©sir pour Cynthia Ă©taient si grands que ça devenait un vĂ©ritable supplice pour moi de la voir se faire sauter par Michel. Et cela dura une bonne heure…

Enfin, il l’a fit s’agenouiller devant lui et lui colla la tĂŞte contre un mur. Il rapprocha son gland de son visage, une nouvelle fois. Mais elle ne voulait toujours pas le sucer. Il se masturba alors frĂ©nĂ©tiquement devant elle, comme quand il avait remplit ce verre en compagnie de ma femme. Ses testicules montaient, descendaient et sonnaient presque comme des cloches mais sans le moindre son. Parfois, Cynthia fermait les yeux car elle recevait de nombreuses giclĂ©es de mouille. Elle voyait bien qu’il voulait jouir sur elle alors elle lui dit « Non… Pas sur mon visage… Sur mes seins… » Mais elle Ă©tait loin d’imaginer qu’en disant ça, elle stimulait encore plus ses capacitĂ©s de production de sperme. Il se branla comme ça pendant au moins un quart d’heure, devant son beau visage. Soudain, il s’arrĂŞta net et lui colla son prĂ©puce, dĂ©goulinant de mouille, sur ses lèvres. Il insista une nouvelle fois pour qu’elle ouvre la bouche. « Allez s’il te plait… » Et elle fit non de la tĂŞte. Il bandait mou, sans doute du Ă  sa technique particulière de pompage et elle se moqua de lui. « Alors, t’arrives plus Ă  bander. Tu veux que je te suce. » Michel Ă©coutait attentivement. « C’est ça que tu veux. » Et elle ouvrit la bouche et tira la langue comme une actrice de X. Elle resta comme ça un instant puis stoppa net, recommença et ainsi de suite… Elle le chauffait sĂ©rieusement lĂ . Ce qui Ă©tait sans doute dur, pour Michel, c’est qu’elle avait vraiment la pose idĂ©ale. En se comportant comme ça, elle donnait beaucoup d’excitation Ă  son partenaire. Ne pouvant plus rĂ©sister, il s’avança et posa son gland sur sa langue. Surprise, elle ne pouvait plus ni reculer ou fermer la bouche et donc resta comme ça en gĂ©missant. Il reprit sa branlette de plus belle et essayait de la maintenir comme ça. « Non, je ne veux pas que tu gicles dans ma bouche, c’est dĂ©gueu… » dit-elle la bouche pleine. Michel hurla très fort. Et elle reçu chaque jet, l’un après l’autre, expulsĂ© avec force et vigueur, sans pouvoir bouger… C’Ă©tait sympa pour nous car il avait juste posĂ© le bout du gland sur sa langue, alors on voyait bien le sperme sortir. Tout allait si vite dans sa tĂŞte qu’elle ne bougea pas. Je voyais ses yeux s’agrandir au fur et Ă  mesure que Michel la remplissait. Ca ne s’arrĂŞtait plus de sortir, je n’avais jamais rien vu tel. La quantitĂ© me paressait juste inconcevable…

Salaud…. criai-je dans ma tĂŞte.

On entendit soudain des applaudissements…

— Bravo, joli spectacle, vraiment… Surtout la fin, dit Amandine toute souriante.
— J’avais une de ces envies ce soir, rĂ©pondit Michel Ă©puisĂ©.
— Et je vois que Cynthia cache bien son jeu… La dame est gourmande…
— Faut pas toujours croire Ă  ce qu’on voit, rĂ©pondit Cynthia en crachant par terre.

Michel, les mains sur les hanches, reprenait son souffle et souriait plus que jamais. Du sperme continuait Ă  sortir du gland…

Je n’osais rien dire. Je pensais aux consĂ©quences de nos actes et Ă  nos futurs rapports entre Cynthia et moi, son regard assassin en disait long. Elle allait m’en vouloir Ă  mort, c’était Ă©vident. Sans un mot, elle ramassa ses vĂŞtements et partie se doucher… Michel parti la rejoindre…

— Ça m’a vraiment plu de les voir faire ça devant nous.
— Oui, c’était très excitant, répondis-je.
— On aurait dit que c’était la première fois qu’ils faisaient l’amour ensemble, c’était bizarre. Mais après ils Ă©taient dĂ©chaĂ®nĂ©s, de vrais animaux ces deux lĂ …
— Tu sais, c’est la passion des jeunes couples.
— Oui, je me souviens de notre première fois…
— Oui, c’était bien.
— Mais Michel a quand même voulu me prendre, quel cochon !
— Tu aurais pu faire gaffe quand même. Un sexe sous ton ventre, tu as du le sentir, non ?
— J’étais trop occupĂ©e… Et puis au dĂ©but, je croyais que c’était toi.
— Mouais.
— Jaloux, hein. J’Ă©tais tellement humide que je n’ai pas du sentir son gland entrer dans ma chatte, voilĂ  tout.
— C’est bon. Je ne veux plus en entendre parler…
— Et toi, tu bandes toujours. Tu veux que je te termine ?
— Euh…
— Approche…

Et elle me tailla une pipe, assez motivé par les évènements. Il me faut l’avouer – ma femme étant très douée pour cette pratique depuis son aventure avec Michel – je lui déversai mon sperme au fond de la gorge, sans aucun scrupule. Cela faisait deux semaines que je n’avais pas joui exprès et elle me regarda avec une drôle de tête. Elle s’attendait sans doute à recevoir deux ou trois jets comme d’hab. Malgré la surprise, elle avala tout. Autant dire qu’elle ne pipa mot concernant le goût de mon sperme.

Le lendemain, au boulot, Cynthia m’expliqua qu’elle ne voulait plus me parler ni me voir, que j’étais un salaud et qu’il n’y avait plus d’amitiĂ© possible entre nous. VoilĂ , une fois encore Michel avait tout gâchĂ©. Mais je n’allais pas en rester lĂ , j’étais bien dĂ©cidĂ© Ă  lui dire deux mots un de ces jours…

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